Comment avez-vous connu Resolve ?

J’ai cherché sur internet, parce que j’avais déjà eu affaire à une autre société de conseil en financement hypothécaire. J’ai même déjà fait appel à deux de ces sociétés pour être plus précis, car j’ai une petite SA dans l’immobilier à côté de mon emploi actuel. 

Il m’est donc arrivé d’avoir besoin de financements hypothécaires, qui sont plus faciles à obtenir et à négocier par le biais d’un courtier, plutôt que d’aller par moi-même engager des négociations avec les banques. D’autant plus maintenant que le profilage du client est devenu plus restrictif. 

En l'occurrence, j’ai cherché une société plus neutre, par rapport à celle à qui j’avais déjà fait appel. Pour la simple et bonne raison qu’il s’agissait cette fois de résoudre un problème familial. J’ai fait appel à Resolve parce que je n’avais pas moi-même la capacité de trouver une solution bancaire à la problématique.

Qu’est-ce qui vous a convaincu d’aller plus loin ?

Lors de la première réunion que j’ai eu avec mon conseiller, il m’a fait part de son parcours. Il est très expérimenté et cela a été déterminant pour moi. 

Lors de mes expériences précédentes avec d’autres sociétés, les personnes avec qui j’ai traité m’ont proposé des produits. Ils étaient plutôt des vendeurs que véritablement des conseillers. J’avais l’impression qu’ils étaient d’abord à la recherche de profit, avant même de proposer des solutions. 

D’ailleurs, je dois vous dire une chose, le nom “Resolve” est quand même bien choisi. Les noms des autres sociétés parlent moins aux gens que “Resolve”. Déjà là, il y a un aspect psychologique qui change, mais au-delà de ça, le côté humain de mon conseiller, Monsieur Manissier, a été déterminant. 

Pouvez-vous nous en dire plus à propos de votre projet ?

Le projet était complexe, d’où le besoin d’avoir quelqu’un d’expérimenté. Cela a pris du temps certes, mais le projet a très bien réussi.

C’était complexe, car il s’agissait d’une hoirie devenue propriétaire d’une maison individuelle dans une zone constructible de Genève. Il y avait déjà une hypothèque en cours sur la maison, auprès d'une compagnie d’assurance choisie par mon oncle défunt. La succession de mon oncle était compliquée, impliquant sa veuve malgache et son jeune fils de nationalité suisse résidant à Madagascar, ainsi que mes deux cousines qui ont grandi dans cette maison. De plus, il y avait encore leur mère qui était restée co-propriétaire de la moitié de la maison, une dame retraitée avec une maigre rente AVS…

En tant qu’administrateur de la succession de mon oncle, je suis arrivé vers Monsieur Manissier en lui exposant mon problème. Je souhaitais respecter la volonté de mon oncle qui voulait que sa nouvelle famille, constituée suite à son divorce et à son départ de la Suisse, puisse garder la propriété à l’étranger et que mes cousines puissent garder la maison dans laquelle elles ont grandi, sans oublier de tenir compte du souhait de leur maman. 

Il s’agit d’une vieille maison des années 30, qui fait 90 mètres carrés, mais sur une très belle parcelle de 1’100 mètres carrés, dans une zone de développement qui intéresse les promoteurs. Nous étions arrivés au bout du prêt hypothécaire existant et la compagnie d’assurance me demandait énormément de documents et d’informations pour le renouvellement. La nouvelle hypothèque devait être au nom de la hoirie, ce qui est plus complexe, d’autant plus lorsqu’une partie des personnes réside à l’étranger, en Afrique. 

Donc je tire mon chapeau à Monsieur Manissier, parce qu’il a offert des solutions pragmatiques pour m’aider à résoudre ce problème qui comprenait un partage successoral et aussi une partie de donation, de la part de ma tante qui souhaitait céder sa part de la maison à ses filles.

Comment s’est déroulée votre expérience avec Resolve ?

Nous avons dû élaborer des scénarios viables financièrement. Il y avait des compensations financières à faire auprès des personnes vivant à Madagascar, car le bien immobilier de Genève a été évalué assez haut. 

J’avais la pression et le moral assez bas. Je ne voyais pas comment résoudre cette équation et faire en sorte que mes cousines, qui travaillent depuis quelques années, mais n’ont pas des taux d’activité à 100% avec de gros revenus, ni d’épargne, puissent garder le bien immobilier. 

L’expérience était très bonne. Cela a nécessité énormément d’échanges, par e-mail, par téléphone… Énormément d’aller-retours , énormément d’études… Monsieur Manissier a dû faire des recherches pour trouver une banque qui accepte de prendre ce cas. Heureusement, il y avait déjà tout le pré-travail fait par Resolve. 

J’ai vraiment eu affaire à quelqu’un qui savait de quoi il parlait et je n’avais pas l’impression qu’il cherchait son profit. Avec Resolve, je suis rentré dans une autre dimension. Mon dossier comprenait beaucoup de difficultés, techniques notamment. Cela nécessitait des connaissances en droit, en finance, en banque… Cela nécessitait une forte coordination, car nous avions plusieurs notaires sur le même dossier.

Quelle importance accordez-vous à l'accompagnement personnalisé pour un tel projet ?

Là, l’accompagnement a été plus que personnalisé ! Cela a presque été du tutorat. Probablement que Monsieur Manissier a aussi compris que je n’agissais pas par intérêt, mais uniquement pour tenir la promesse faite à mon oncle… La situation était décourageante pour mes cousines. Si nous les avions laissées tomber, elles auraient dû vendre la maison. Je n’y serais clairement pas arrivé sans vous.

Si vous souhaitez  vous aussi bénéficier d’un accompagnement personnalisé pour la réalisation de votre projet immobilier, n’hésitez pas à contacter l’un de nos conseillers.